Concours de nouvelles Edilivre
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Re: Concours de nouvelles Edilivre
Je pense sérieusement à étoffer ma nouvelle, j'ai encre de la marge ! Mais le temps manque... Hélio tu as jeté un oeil alors ?
Dernière édition par Spirit le Dim 17 Nov - 13:49, édité 1 fois
Re: Concours de nouvelles Edilivre
Miam miam héli.
kakawichka- Messages : 108
Date d'inscription : 11/10/2013
Re: Concours de nouvelles Edilivre
J'ai bien reçu tes corrections Hélio, merci !!!
Un temps de merde ici aussi... du coup ton système de corrections hors texte (sur le côté du document) a éclairé ma journée !!!
Faudra que tu m'apprennes comment tu as fait ! (Tu as skype ou facebook ?)
Un temps de merde ici aussi... du coup ton système de corrections hors texte (sur le côté du document) a éclairé ma journée !!!
Faudra que tu m'apprennes comment tu as fait ! (Tu as skype ou facebook ?)
Re: Concours de nouvelles Edilivre
J'utilise Word 2007 (révision - commentaire de la barre d'outils) ; il y a un système de correction assez développé, mais un peu encombrant. Tant mieux si les commentaires se lisent bien sur Open Office (que j'ai désinstallé, c'est dommage). Skype aussi, je l'ai désinstallé parce qu'il me foutait le souk en me neutralisant les firewalls.
Je viens de renvoyer le texte de Nausea.
Je viens de renvoyer le texte de Nausea.
Héliotrope- Messages : 457
Date d'inscription : 28/09/2013
Age : 74
Localisation : à l'ouest, mais pas assez
Re: Concours de nouvelles Edilivre
Oh, dommage ^^" mais si c'est compatible, peut-être qu'il y a un système de corrections du genre aussi sous OO ?
Re: Concours de nouvelles Edilivre
Je suis sûre que tu as l'équivalent sur OO, si tu as la version la plus récente ; quand tu auras un moment, visite les barres de tâches fonction par fonction, tu vas faire des découvertes ! Moi j'étais perdue dans les tâches OO, mais surtout parce que j'utilise Word depuis qu'il existe (ça fait une paie !) ; ce qui ne m'empêche pas d'y découvrir des trucs : je ne savais pas compter en sec ! Eh bien j'ai trouvé (statistiques).
Héliotrope- Messages : 457
Date d'inscription : 28/09/2013
Age : 74
Localisation : à l'ouest, mais pas assez
Re: Concours de nouvelles Edilivre
Oui je finis les corrections de ma nouvelle et je l'envoie, je chercherai ça après
Re: Concours de nouvelles Edilivre
Voilà, mail envoyé !!! Pfiouh, que de stress !!!
J'ai écrit jusqu'à la dernière minute si je puis dire, Nausea peut même en témoigner ; au vu de la torture infligée !
J'ai écrit jusqu'à la dernière minute si je puis dire, Nausea peut même en témoigner ; au vu de la torture infligée !
Re: Concours de nouvelles Edilivre
Maintenant que vos nouvelles sont envoyées, je pense qu'on peut les partager ici pour qui voudraient les lire.
Je commence avec la mienne, postée sur WeLoveWords : Par ici.
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Pianitza- Messages : 44
Date d'inscription : 12/10/2013
Re: Concours de nouvelles Edilivre
Mouais... Faudra nous expliquer vos mic-macs, tous les deux ! Maintenant, il nous reste à croiser les doigts pour le succès de nos (34 ?) champions
Héliotrope- Messages : 457
Date d'inscription : 28/09/2013
Age : 74
Localisation : à l'ouest, mais pas assez
Re: Concours de nouvelles Edilivre
Bravo à tous d'avoir réussi à relever ce défi !
Plus qu'à attendre janvier maintenant pour remonter ce topic et féliciter notre/nos potentiels vainqueurs
Et pour patienter, je vais de ce pas lire la nouvelle de mon pia (edit : nouvelle lue, elle est très chouette, vraiment, j'ai découvert que la plume de pia pouvait-être joliment poétique)
Plus qu'à attendre janvier maintenant pour remonter ce topic et féliciter notre/nos potentiels vainqueurs
Et pour patienter, je vais de ce pas lire la nouvelle de mon pia (edit : nouvelle lue, elle est très chouette, vraiment, j'ai découvert que la plume de pia pouvait-être joliment poétique)
- Ma nouvelle:
- Pour un regard de toi
C'est mal. Ce que nous faisons est mal et je le sais. Mais je ne peux rien y faire. Je ne suis que le maillon d'une chaîne de scientifiques ininterrompue. La main d'un pouvoir qui me dépasse. Si je craque, si je cède sous la pression, je serais immédiatement remplacée par un autre. Et ça m'est impensable. Je ne peux pas le laisser. Il a besoin de moi. Ils croient tous que c'est une chose, une expérience scientifique, avec un nom composé de chiffres sans fin. Mais moi, je sais qu'il est plus que ça. Il est comme moi. Il ressent les mêmes choses. Mathéo...
A travers le métal de ma cage, je peux apercevoir le soleil par la fenêtre. Il brille et de temps en temps vient jouer doucement sur mon visage. Des petits éclats, comme de la poussière d'or. Autrefois, je pouvais courir à l'extérieur. J'étais libre. Mon univers était fait de forêts, de montagnes et de ruisseaux sauvages. Mais aujourd'hui, je ne suis plus qu'une créature enfermée, apeurée, dangereuse. Dangereux. C'est le mot qu'Ils utilisent pour me décrire. Mais c'est eux qui m'ont fait ainsi. Qui m'ont créé pour tuer. Alors pourquoi s'en étonnent-ils maintenant ?
Il semble calme ce matin. Je me risque à m'approcher de la cage qui le retient prisonnier. Recroquevillé au fond de la cellule, il m'observe. Je peux voir son regard perçant, presque blanc, ce regard qui leur fait si peur. Je le fixe sans ciller. Ne sentant aucune présence à risque, il décide de s'approcher à son tour. Il fait quelques pas, gauchement, avec cette démarche qui lui est propre. Ses bras semblent peser trop lourd pour le reste de son corps et ses jambes semblent légèrement disproportionnées par rapport à son buste. Son crane rasé lui donne un air encore plus méchant que ses yeux pâles. Pourtant, contrairement à mes collègues, son apparence ne me rebute pas. Je le trouve plutôt fascinant. J'approche ma main des barreaux et la pose contre le fer froid. Et j'attends...
Pourquoi reste-elle près de moi si souvent ? Pourquoi ne fuit-elle pas comme les autres devant mon physique hideux ? Elle semble différente. Elle semble presque apprécier ma présence. Pourtant, elle doit savoir que d'une pression de la main, je pourrais l'écrabouiller. Elle doit savoir que d'un coup de pied, je pourrais lui faire traverser le mur d'en face. Elle doit savoir qui je suis réellement. La force de cent hommes, l'apparence d'un monstre, les pensées d'un humain. Voilà ce que je suis. Mais sa main est là. Si près et si fragile. Alors dans un sursaut d'humanité, comme j'en ai parfois entre deux crises, je lève à mon tour mes longs doigts surmontés de griffes courbes, et je les pose contre les barreaux de ma prison. Tout contre elle.
Je reste bouche bée quelques secondes devant ce geste inattendu. Ce simple mouvement vient de briser en un instant toutes les théories des scientifiques sur la prétendue inhumanité de Mathéo.
Ils disaient qu'il ne ressentait plus rien. Qu'il ne songeait qu'à tuer. Qu'il ne reconnaissait personne. Mais c'est faux. Je l'ai toujours su. Au fond de lui, il est bien plus humain que la plupart des êtres qui m'entourent. Seulement, personne n'est capable de voir au delà des apparences. Je lui murmure son prénom espérant qu'il comprenne. J'ignore qui il était avant d'être utilisé par l'armée pour être transformé en machine de guerre. Peut-être était-il encore enfant quand il fut capturé et enfermé ? Peut-être avait-il peur ? Peut-être espérait-il sortir rapidement de là. Quand je suis arrivée au sein de l'équipe, il était déjà méconnaissable. Ni humain, ni animal. Un être sans forme et sans nom. J'ai mis longtemps à accepter la barbarie dont le pouvoir était capable au nom de prétendues guerres. Mais aujourd'hui, je sais pourquoi je suis toujours là. Je dois le sauver...
Elle m'appelle. Sa voix pure me fait l'effet d'une brise fraiche un soir d'été. J'ai envie de lui répondre, mais j'en suis incapable. Seul un grognement franchit ma bouche aux crocs aiguisés.
Un râle qui la fait reculer. Une larme coule le long de mon visage déformé. Savent-Ils que je suis encore capable de pleurer ? J'en doute. Mais elle, je suis sûre qu'elle s'en aperçoit. Alors je l'appelle dans ma tête. Aussi fort que je peux, je répète son prénom, encore et encore. Sophia. Elle relève son visage. Peut-être a-t-elle perçu mon trouble. Mon effort. Ou les deux. Dans un souffle, elle me murmure : ''je suis là''. Je sais. Je sais qu'elle est là pour moi. Elle est mon seul espoir. Avec elle, il m'est peut-être possible d'établir un contact. Un jour, je parviendrais peut-être même à lui dire tout ce que je ressens. Un jour. Peut-être. En attendant, je retourne au fond de ma cellule. Dans l'obscurité. Là où rien ne peut m'atteindre.
J'ai failli réussir. Pendant ce qui m'a semblé un éclair, quelque chose est passé entre lui et moi. Mais aussitôt, ce contact éphémère est parti en fumée. Envolé. Évanoui. Je voudrais pouvoir le retenir encore, lui dire que je le comprends, que je peux l'aider. Mais déjà il a disparu. De frustration, je donne un coup de poing dans le mur. Je sens un os craquer au contact du carrelage dur, mais je m'en fiche. Je suis emplie de colère. Je déteste la Terre entière d'être aussi monstrueuse. D'avoir créé cet humanoïde de toutes pièces, avant de l'abandonner dans un espace réduit où il ne pourra plus nuire à personne. Où sont passés les sentiments qui guidaient les humains il y a encore quelques années ? Ce qu'il ressent lui, la belle affaire ! La sécurité de tous est plus importante que le bien-être d'un seul. Voilà ce qu'on m'a dit la première fois que j'ai émis l'idée de le transporter dans un espace plus grand. Mais s'en est fini de tout ça. Sa délivrance est proche. Notre délivrance est proche...
La violence qui s'est emparée d'elle subitement me fait sursauter. Je refuse qu'elle se fasse du mal pour moi. Elle est si belle. Je ne veux pas qu'elle souffre. Non. C'est à eux de souffrir. À ces fourmis consciencieuses qui s'agitent autour de moi pour me rendre toujours plus puissant. Une envie de meurtre s'immisce en moi, mais je dois la contenir. Je dois changer si je veux un jour être auprès d'elle. Je refuse que ce scientifique au visage de playboy qui lui tourne autour l'emporte. Elle est à moi, à moi seul. Cette humaine, si douce, si fragile, si envoutante, m'a bouleversé à jamais. Depuis qu'elle me rend visite, je sens la métamorphose qui s'opère en moi. Je suis en train de changer. Grâce à elle. Comme elle continue à frapper dans le mur blanc de la petite salle, le sang teintant le carrelage par petites gouttes pourpres, je me rapproche du bord de ma cage et frappe à mon tour de toutes mes forces contre le métal. Le bruit sourd qui éclate comme un coup de feu dans l'air semble la calmer. Son regard se fait interrogateur, puis une brusque réflexion l'agite. Elle fouille les tiroirs d'un bureau à toute vitesse, envoyant voler des objets en tout genre. Et enfin elle la sort. La clé de ma cage. La clé de ma prison.
J'ignore pourquoi, mais je sens que c'est le bon moment. Cela fait des années que je patiente, que je tente de l'apprivoiser sans résultat probant, sans jamais oser. Mais aujourd'hui, je dois le faire. La petite clé rouillée peine à ouvrir la porte, mais après quelques secondes d'effort, j'y parviens enfin. Ça y est. L'espace qui nous séparait depuis toujours n'est plus. Quelques mètres seulement et je pourrais le toucher. J'avance, un pas après l'autre. Son premier réflexe a été de fuir dans le noir, tout au fond de l'espace réduit. Sûrement pour m'épargner la laideur de son physique. Mais je m'en fiche bien désormais. Plus rien ne compte à part notre proximité. Troublante proximité. Dans un silence assourdissant, je brise la distance entre nous. Jusqu'à me trouver au bord du vide. Tellement près de lui que mes cheveux volent sous son souffle. S'il pouvait parler, il me dirait certainement d'arrêter, de me mettre à l'abri, là où il ne pourrait pas m'atteindre. Mais je ne peux pas. Je ne veux pas reculer. Alors je pose ma main sur sa joue et mes lèvres sur les siennes. Et je murmure dans ce baiser sans fin : ''je t'aime depuis toujours''...
Sa main est une plume légère et son baiser un souffle divin. Je ne suis plus moi, je suis ailleurs. Le paradis, ça doit-être ça, non ? Je voudrais que jamais ce moment ne cesse, qu'elle soit mienne pour le reste de l'éternité. J'aimerais la serrer dans mes bras, mais j'ai trop peur de la briser. Alors je me jette tout entier dans ce baiser, ce contact que j'ai tant souhaité. Au son de bruits précipités, notre bonheur éclate. Les reflets irisés de cette bulle fragile comme celle de savon viennent éclabousser les murs de ma prison. Une fois de plus, Ils ont brisé la paix qui se répandait dans mon corps. Eux. Décidément, ils ne cesseront jamais de se mettre en travers de mon chemin. Ils sont une dizaine, lourdement armés. Je me place devant elle pour la protéger sans même y réfléchir. Je sais le destin qui m'attend, je sais les balles explosives qui réduisent vos organes en charpie, je sais la mort au bout de leurs fusils. Mais je n'ai pas peur. Je peux mourir heureux. J'ai vécu bien plus que tout homme. J'ai connu l'Amour. Ce sentiment qui emporte et détruit tout. Le coup de feu éclate dans l'air et j'attends la décharge qui me sera fatale. Mais rien ne vient. C'est alors que je comprends. Elle est là, étendue à mes pieds, reine jusque dans la mort. La balle est entrée dans son cœur sans un bruit, sans éclat. Un hurlement déchire l'air. Le mien ? Je perds le contrôle. Un premier humain valse dans la vitre la plus proche. Un second s'embroche sur mes griffes. Je n'ai pas le temps d'atteindre le troisième qu'une balle me touche en pleine nuque. Mon souffle se fait court. Une autre balle et encore une autre. Je tombe. La femme que j'aimais n'est plus. Déjà trop loin pour que je puisse la retenir. Mais je vais la rejoindre. Bientôt. Là bas, nous serons deux anges parmi les anges. Sophia. Ma Sophia. Attends-moi encore un peu. Attends-moi. J'arrive...
PetitePlume- Admin
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Re: Concours de nouvelles Edilivre
Bon moi j'ai trouvé l'équivalent sous OO des commentaires, encore merci Helio !!
Re: Concours de nouvelles Edilivre
Pianitza, tu aurais du me confier ton texte pour relecture ! Tu me conjugueras le verbe rire à tous les temps, pour la peine. A part ce rire défectueux, c'est un très beau texte, original, bien rythmé, poétique.
Spirit : j'étais presque certaine que ça se cachait quelque part. C'est très pratique ; les autres fonctions de correction/révision aussi. Je m'en sers beaucoup pour évaluer les textes des concours : cela facilite le travail de synthèse. Cela permet également de travailler à plusieurs puisque l'auteur de chaque commentaire est indiqué.
Spirit : j'étais presque certaine que ça se cachait quelque part. C'est très pratique ; les autres fonctions de correction/révision aussi. Je m'en sers beaucoup pour évaluer les textes des concours : cela facilite le travail de synthèse. Cela permet également de travailler à plusieurs puisque l'auteur de chaque commentaire est indiqué.
Héliotrope- Messages : 457
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Re: Concours de nouvelles Edilivre
Ah oui, à plusieurs c'est le pied ! Mais faut une sacrée organisation. (Faut faire tourner le document à chaque personne une par une non ??
Et pour les autres outils, dis m'en plus
Et pour les autres outils, dis m'en plus
Re: Concours de nouvelles Edilivre
Je vais faire de fausses corrections sur ta nouvelle que je n'ai pas encore envoyée à la corbeille, en te mettant les commandes Word.
J'ai utilisé tout ça quand je travaillais encore ; je rédigeais un projet de contrat, qui circulait entre 3 ou 4 personnes (chef projet, finances/gestion, achats et commercial, par exemple). Chacun ajoutait ses commentaires et passait au suivant ; je n'avais plus qu'à synthétiser. Selon l'affichage, tu peux d'ailleurs faire disparaître les corrections tout en les conservant, masquées. Magique ! Gros gains de temps donc d'argent. C'est une secrétaire très balèze et très sympa qui m'a tout appris de Word ; j'ai oublié pas mal de choses (fusion de gros documents) mais j'arrive à retrouver, quand même, en ramant un peu.
En revanche, pour écrire à deux (ou plus), ça ne convient pas vraiment. Mieux vaut utiliser Piratepad ou Google Drive (pas sûre du nom), vraiment interactifs, et pourvu d'un chat pour les discussions. Fastoche et efficace.
J'ai utilisé tout ça quand je travaillais encore ; je rédigeais un projet de contrat, qui circulait entre 3 ou 4 personnes (chef projet, finances/gestion, achats et commercial, par exemple). Chacun ajoutait ses commentaires et passait au suivant ; je n'avais plus qu'à synthétiser. Selon l'affichage, tu peux d'ailleurs faire disparaître les corrections tout en les conservant, masquées. Magique ! Gros gains de temps donc d'argent. C'est une secrétaire très balèze et très sympa qui m'a tout appris de Word ; j'ai oublié pas mal de choses (fusion de gros documents) mais j'arrive à retrouver, quand même, en ramant un peu.
En revanche, pour écrire à deux (ou plus), ça ne convient pas vraiment. Mieux vaut utiliser Piratepad ou Google Drive (pas sûre du nom), vraiment interactifs, et pourvu d'un chat pour les discussions. Fastoche et efficace.
Héliotrope- Messages : 457
Date d'inscription : 28/09/2013
Age : 74
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Re: Concours de nouvelles Edilivre
Je suis ravie de voir que ça a cogité sec durant le week end (pendant ce temps je flânais dans les rues de Porto), je lirais avec grande attention et curiosité vos textes mercredi !
Asyne- Messages : 322
Date d'inscription : 27/09/2013
Re: Concours de nouvelles Edilivre
Ah oui merci Hélio, hâte de voir ça ! quelle organisation redoutable ^^
Asyne, tu as passé un bon week-end ? :p
Asyne, tu as passé un bon week-end ? :p
Re: Concours de nouvelles Edilivre
Je viens de recevoir à l'instant l'accusé de réception d'Edilivre pour ma nouvelle Plus qu'à attendre le 7 janvier maintenant, ça va être long
PetitePlume- Admin
- Messages : 343
Date d'inscription : 25/09/2013
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Re: Concours de nouvelles Edilivre
Que c'est loin, le 7 janvier...
Spirit, je t'ai envoyé les menus de révision/correction de Word par courriel !
Spirit, je t'ai envoyé les menus de révision/correction de Word par courriel !
Héliotrope- Messages : 457
Date d'inscription : 28/09/2013
Age : 74
Localisation : à l'ouest, mais pas assez
Re: Concours de nouvelles Edilivre
oui Spirit, 2 jours à Porto très sympathique, une ville vraiment surprenante et qui mérite de s'y arrêter un instant. J'ai hâte de lire vos écrits
Asyne- Messages : 322
Date d'inscription : 27/09/2013
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